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Design thinking appliqué : résoudre les problèmes business par l'approche utilisateur

Design thinking appliqué : résoudre les problèmes business par l'approche utilisateur

Design thinking appliqué : résoudre les problèmes business par l'approche utilisateur

Le Design Thinking est une méthode qui place l'utilisateur au centre des solutions pour résoudre des défis complexes. En Suisse, avec ses diversités linguistiques et culturelles, cette approche aide les entreprises à mieux comprendre leurs clients, à collaborer efficacement et à innover rapidement. Voici les points clés :

  • Empathie : Observer et comprendre les besoins réels des utilisateurs, en tenant compte des différences régionales (par ex. Genève vs Zurich).
  • Prototypage itératif : Tester rapidement des idées avec des versions simplifiées pour réduire les risques et ajuster en fonction des retours.
  • Collaboration : Réunir des équipes variées pour briser les silos et enrichir les solutions.

En Suisse, cela implique d'adapter les recherches utilisateur aux langues locales, de concevoir des solutions accessibles à tous, et de respecter les lois comme la LPD. Le résultat ? Une meilleure expérience client et des solutions alignées sur les attentes réelles des utilisateurs.

Astuce pratique : Pour intégrer le Design Thinking, commencez par des entretiens utilisateurs multilingues, priorisez les problèmes à résoudre, et testez vos idées avec des prototypes simples.

Design Thinking - Comment bien débuter votre projet

Principes fondamentaux du design thinking

Ces principes permettent de mieux appréhender la méthode évoquée précédemment. Le design thinking repose sur trois éléments clés qui redéfinissent la façon dont les entreprises abordent des défis complexes. Ils offrent un cadre structuré pour créer des solutions centrées sur l'utilisateur, particulièrement pertinent dans le contexte multiculturel suisse.

L'empathie : comprendre les besoins des utilisateurs

L'empathie est au cœur du design thinking. Elle implique observer, écouter et comprendre les utilisateurs dans leur quotidien. Cette démarche va bien au-delà des simples enquêtes ou études de marché.

En Suisse, ce principe prend une dimension particulière. Les entreprises doivent jongler avec des différences culturelles, linguistiques et des habitudes de consommation variées. Par exemple, un client à Genève peut avoir des attentes différentes de celles d'un client à Zurich, même pour un produit identique.

L'empathie aide à détecter les motivations profondes derrière les comportements. Si un client abandonne fréquemment son panier en ligne, est-ce un problème de confiance, de complexité du processus ou une question liée à ses attentes culturelles ?

Pour acquérir cette compréhension fine, il est essentiel de privilégier l'observation directe, les entretiens individuels et même l'immersion dans l'univers des utilisateurs. Cette approche permet de capter les signaux faibles, ces petits détails qui révèlent des besoins essentiels pour concevoir des solutions adaptées.

Les informations recueillies alimentent ensuite les étapes de création et de test des prototypes.

Processus itératif : construire et tester des prototypes

Le design thinking mise sur l'action rapide plutôt que sur une planification excessive. Le prototypage itératif encourage les équipes à donner forme à leurs idées pour les tester rapidement auprès des utilisateurs.

Cette méthode limite les risques. Plutôt que de consacrer des mois à développer une solution complexe, les équipes créent des versions simplifiées qu'elles améliorent en fonction des retours obtenus. Un prototype peut être aussi basique qu'un croquis, une maquette interactive ou même une simulation jouée par les équipes.

L'itération permet d'identifier les erreurs rapidement et d'ajuster en conséquence. Chaque test dévoile des aspects inattendus du problème et guide les améliorations nécessaires. Pour les entreprises suisses, cette méthode est particulièrement utile pour adapter les solutions aux divers segments linguistiques et culturels.

Elle favorise aussi une mentalité d'amélioration continue. Les équipes perçoivent chaque version comme une opportunité d'apprentissage, ce qui libère leur créativité et accélère leur capacité à innover.

Collaboration interdépartementale

Le design thinking brise les silos en réunissant des perspectives variées autour d'un objectif commun. Cette collaboration transversale enrichit les solutions en intégrant des points de vue divers.

Les équipes incluent des profils variés (marketing, développement, service client, ventes et utilisateurs finaux), chacun apportant une expertise précieuse pour résoudre des problèmes complexes.

En Suisse, cette collaboration prend une importance particulière. En intégrant des représentants des différentes régions linguistiques, les entreprises s'assurent que leurs solutions répondent aux attentes de tous leurs utilisateurs.

Cette approche collaborative contribue également à une meilleure adoption des solutions. Lorsque les services participent activement à leur conception, ils comprennent mieux les choix réalisés et sont plus enclins à soutenir les changements nécessaires.

En fin de compte, cette méthode transforme la culture d'entreprise en favorisant l'écoute, la réflexion constructive et un apprentissage mutuel. Les équipes développent une vision partagée des défis et avancent ensemble vers des objectifs communs.

Guide étape par étape pour utiliser le design thinking

Appliquer le design thinking permet de transformer des défis d’entreprise en solutions centrées sur l’utilisateur, tout en tenant compte du contexte multiculturel suisse. Chaque étape vise à apporter une valeur réelle en plaçant les besoins des utilisateurs au cœur du processus.

1. Comprendre vos utilisateurs

La première étape consiste à approfondir votre compréhension des utilisateurs. Cela va bien au-delà des simples statistiques démographiques : il s’agit d’explorer leurs motivations, frustrations et comportements réels.

Planifiez des entretiens individuels d’une durée de 45 à 60 minutes avec un échantillon de 8 à 12 utilisateurs représentatifs. Complétez ces discussions par des observations sur le terrain pour mieux comprendre les écarts entre ce que les utilisateurs disent et ce qu’ils font réellement. Posez des questions ouvertes, comme : « Pouvez-vous me décrire votre dernière expérience avec ce type de service ? » Évitez les questions fermées qui limitent les réponses.

Un outil clé ici est le parcours utilisateur (customer journey mapping). Ce processus vous aide à identifier les points de friction en retraçant les étapes de l’interaction, depuis la prise de conscience jusqu’à l’utilisation finale. Cela met en lumière les moments où l’utilisateur ressent de la frustration ou, à l’inverse, de la satisfaction.

Dans le contexte suisse, adaptez vos méthodes en proposant des entretiens multilingues et en tenant compte des différences régionales dans la manière dont les utilisateurs expriment leurs opinions. Ces informations sont essentielles pour définir les problèmes à résoudre.

2. Définir les problèmes business

Une fois les informations collectées, reformulez-les en problèmes clairs du point de vue de l’utilisateur. Par exemple, au lieu de poser la question large « Comment augmenter nos ventes en ligne ? », préférez une approche centrée sur l’utilisateur comme : « Comment faciliter la recherche de produits qui répondent aux besoins des clients ? »

La technique du « Comment pourrions-nous… » est particulièrement utile ici. Si vos entretiens révèlent que la complexité du processus de paiement décourage les utilisateurs, reformulez cela en : « Comment pourrions-nous simplifier le paiement pour qu’il reste intuitif, même pour des utilisateurs peu familiers avec le commerce en ligne ? »

Priorisez les problèmes en fonction de leur impact sur l’expérience utilisateur et de leur faisabilité technique, tout en respectant les exigences réglementaires spécifiques à la Suisse. Une fois les problèmes bien définis, vous pouvez passer à la recherche de solutions.

3. Générer des idées de solutions

Cette étape consiste à explorer un large éventail de solutions possibles pour les problèmes identifiés.

Organisez des sessions de brainstorming impliquant des équipes variées et, si possible, des utilisateurs finaux. L’objectif : générer entre 50 et 100 idées en une heure. Encouragez les propositions audacieuses, même si elles semblent irréalistes au départ, car elles peuvent inspirer des approches inattendues.

Utilisez des techniques structurées pour alterner entre réflexion libre et pensée plus organisée, ce qui favorise l’émergence d’idées nouvelles. Dans un contexte suisse, il est important d’évaluer dès le départ comment chaque idée pourrait s’adapter aux différents segments linguistiques et culturels.

4. Construire et tester des prototypes

Passer des idées à des solutions concrètes nécessite de créer des prototypes. Ces versions simplifiées permettent de tester rapidement des concepts et d’identifier les principales difficultés.

Commencez par des prototypes basse fidélité, comme des croquis ou des maquettes simples, pour valider les idées clés. Ensuite, développez des prototypes interactifs à l’aide d’outils comme Figma ou InVision. Assurez-vous que ces prototypes tiennent compte des spécificités régionales et offrent une expérience cohérente pour tous les utilisateurs.

Organisez des tests utilisateur avec 5 à 8 participants par itération. Observez leurs interactions sans intervenir et recueillez leurs retours via des questions ouvertes sur leur expérience. Ces tests permettent de détecter rapidement les problèmes d’utilisabilité les plus courants.

Documentez soigneusement les retours, hiérarchisez les améliorations en fonction de leur impact, puis itérez rapidement entre conception, test et ajustement. Répétez ce processus jusqu’à ce que la solution réponde efficacement au problème initial.

Utiliser le design thinking pour les marchés bilingues et multiculturels

La Suisse offre un terrain unique pour appliquer le design thinking, avec ses quatre langues nationales, ses diversités régionales et ses communautés internationales. Dans ce contexte, il est crucial d'adapter les méthodes pour créer des solutions qui incluent véritablement tout le monde.

Adapter la recherche utilisateur aux langues multiples

Mener une recherche utilisateur dans un environnement multilingue ne se limite pas à traduire des questions ou des interfaces. Chaque langue porte des subtilités culturelles qui influencent la manière dont les utilisateurs expriment leurs besoins et interagissent.

Pour capter ces nuances, réalisez des entretiens dans chaque langue, animés par des modérateurs natifs. Par exemple, un utilisateur romand pourrait formuler ses frustrations différemment d’un utilisateur suisse alémanique, même s’ils rencontrent les mêmes défis. Les premiers pourraient utiliser un langage plus nuancé, tandis que les seconds pourraient être plus directs.

Élaborez des personas multilingues qui reflètent les comportements et attentes spécifiques de chaque région. Un persona pour la Suisse romande devra inclure des influences françaises, tandis qu’un persona pour la Suisse alémanique prendra en compte les particularités germaniques. Ces profils permettent de mieux comprendre comment les besoins varient selon les langues et les régions.

Enfin, documentez comment les utilisateurs expriment leurs besoins dans chaque langue. Un problème peut être perçu et décrit différemment selon la région, ce qui peut révéler des attentes distinctes nécessitant des solutions adaptées.

Rendre les solutions accessibles à tous

Au-delà de la recherche, la conception doit intégrer ces différences pour garantir une expérience homogène et inclusive. Cela ne signifie pas seulement traduire les contenus, mais aussi adapter les solutions aux contextes culturels et régionaux.

Créez une architecture d’information multilingue qui reste intuitive dans toutes les langues. Par exemple, l’allemand étant souvent plus long que le français, vérifiez que la mise en page reste claire et fonctionnelle. Testez également l’impact des variations linguistiques sur la navigation.

Lors des phases de prototypage, intégrez des éléments visuels et interactifs adaptés aux sensibilités culturelles. Les couleurs, les images ou même certains termes peuvent avoir des connotations spécifiques selon les régions. Testez vos prototypes avec des utilisateurs de chaque région linguistique pour recueillir des retours adaptés. Ces tests révèlent des ajustements nécessaires que des évaluations monolingues pourraient manquer.

Envisagez des options d’adaptation dynamique dans vos solutions, permettant aux utilisateurs de personnaliser leur expérience selon leurs préférences linguistiques ou culturelles. Cela inclut des formats de date, des unités de mesure ou des conventions d’affichage spécifiques. Ces ajustements renforcent l’engagement des utilisateurs et leur satisfaction.

Respecter les exigences légales suisses

En Suisse, les contraintes légales jouent un rôle important dans le processus de conception. Intégrer ces exigences dès le départ peut transformer des obligations en opportunités pour améliorer l’expérience utilisateur.

La Loi fédérale sur la protection des données (LPD) impose une transparence accrue concernant la collecte et l’utilisation des données. Lors des entretiens utilisateur, explorez leurs attentes en matière de confidentialité et adaptez vos solutions pour répondre à ces préoccupations.

Appliquez les principes de privacy by design lors des sessions de brainstorming. Chaque idée doit respecter la vie privée tout en répondant aux besoins des utilisateurs. Cette approche peut souvent conduire à des idées plus créatives et mieux alignées sur les attentes locales.

Enfin, assurez-vous que vos prototypes respectent les normes suisses d’accessibilité numérique. Testez vos solutions avec des utilisateurs ayant des besoins spécifiques et intégrez leurs retours dans les itérations. Collaborer avec des experts juridiques dès le début permet de garantir la conformité et de transformer ces contraintes en points forts, tout en plaçant les utilisateurs au centre des innovations.

Mesurer les résultats du design thinking en entreprise

Pour évaluer l'impact du design thinking, il faut aller au-delà des indicateurs classiques. En Suisse, les entreprises doivent prouver la valeur de cette approche en définissant clairement les objectifs de chaque projet. Cela permet d'ancrer les améliorations dans une démarche centrée sur l'utilisateur[2]. Que ce soit pour optimiser des produits, mobiliser des équipes ou augmenter les revenus, le choix des métriques doit refléter ces priorités.

Suivre les indicateurs clés de performance (KPI)

Les KPI traditionnels, comme le retour sur investissement ou la productivité, ne suffisent pas toujours à mesurer l'impact du design thinking. En raison de son approche itérative et empathique, il est essentiel d'adopter des métriques qui capturent les comportements créatifs propres à cette méthode[2].

Pour définir des KPI pertinents, commencez par identifier les comportements qui soutiennent vos objectifs[1]. Ces comportements peuvent inclure la fréquence des retours positifs, la rapidité de résolution des problèmes ou encore le taux de recommandation. Ensuite, transformez ces comportements en métriques SMART (spécifiques, mesurables, atteignables, réalistes et temporellement définies) et désignez un responsable pour chaque indicateur afin d'assurer un suivi régulier et des ajustements rapides[1].

Combinez des indicateurs avancés (qui anticipent les progrès, comme le nombre d'entretiens utilisateur réalisés) et retardés (qui mesurent les résultats, comme l'augmentation du chiffre d'affaires)[1]. Privilégiez un nombre limité de KPI, priorisez-les et segmentez-les en fonction de vos objectifs pour éviter la surcharge ou les métriques inutiles. Par exemple, un tableau de bord bien conçu peut offrir une vue claire et exploitable, facilitant les prises de décision[1]. En Suisse, pensez à adapter le format des chiffres : utilisez des points pour les milliers (1'000) et des virgules pour les décimales (CHF 1'500,50).

Ces KPI, en mettant l'accent sur l'expérience utilisateur, permettent de stimuler une culture d'amélioration continue.

Construire une culture d'amélioration

Pour garantir la pertinence de vos KPI, réévaluez-les régulièrement selon un calendrier défini[1]. Confiez la responsabilité de chaque indicateur à une personne dédiée et utilisez des tests A/B pour affiner vos mesures.

Assurez-vous également de relier vos objectifs entre eux en fixant des cibles claires pour chaque KPI. Par exemple, un objectif financier peut être directement lié à la qualité du service ou à la fidélité des clients. Cette approche aide à mieux comprendre les relations de cause à effet et à aligner les efforts sur des résultats concrets[1].

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Conclusion : Développer son entreprise grâce aux solutions centrées utilisateur

Le design thinking transforme la manière dont les entreprises abordent leurs défis en mettant l'utilisateur au centre de leurs priorités. Cette méthode permet de résoudre des problèmes complexes tout en améliorant l'expérience client, ce qui s'avère particulièrement pertinent dans des marchés multilingues comme celui de la Suisse.

En s'appuyant sur trois piliers fondamentaux – une définition précise des problèmes, une compréhension approfondie des besoins utilisateurs et des cycles rapides de prototypage – les entreprises peuvent accélérer leur capacité à innover. Ces étapes créent une base solide pour une amélioration continue, mesurable et orientée vers l'utilisateur.

Mais pour que le design thinking devienne une partie intégrante de la culture d'entreprise, il est essentiel de mesurer ses résultats. En complément des KPI traditionnels, il faut intégrer des indicateurs qui reflètent les comportements créatifs et l'impact direct sur l'expérience utilisateur.

À Genève, EWM SA joue un rôle clé dans cette transformation digitale depuis 2011. Avec des solutions sur mesure et bilingues, l'entreprise aide ses clients à maximiser leur ROI grâce à des projets centrés sur l'utilisateur. Que ce soit pour des sites web adaptés aux langues locales, des applications métier ou des stratégies SEO ciblées, chaque initiative repose sur une approche pensée pour répondre aux attentes réelles des utilisateurs.

Dans un monde où les marchés évoluent rapidement, seules les entreprises qui mettent l'utilisateur au cœur de leurs décisions pourront maintenir leur compétitivité. Le design thinking n'est plus une simple méthode, mais une stratégie essentielle pour s'adapter et prospérer.

FAQs

Comment appliquer le design thinking pour répondre aux diversités linguistiques et culturelles en Suisse ?

Le design thinking dans le contexte suisse

Le design thinking trouve un terrain fertile en Suisse, grâce à sa diversité linguistique et culturelle exceptionnelle. Avec quatre langues nationales (allemand, français, italien, romanche) et une mosaïque de traditions locales, ce cadre unique offre de nombreuses opportunités pour concevoir des solutions adaptées à une population variée.

Pour tirer parti de cette richesse, il est essentiel d'utiliser des outils multilingues et de privilégier une approche qui respecte les sensibilités locales. Cela signifie impliquer activement les utilisateurs de différentes régions et cultures dans le processus de conception. Cette collaboration interculturelle permet non seulement de mieux comprendre les attentes des utilisateurs, mais aussi de créer des solutions qui résonnent avec les besoins spécifiques de chaque communauté.

En intégrant ces perspectives variées, les entreprises suisses peuvent renforcer leur lien avec un public diversifié et proposer des produits ou services plus pertinents. Cette méthode ne se limite pas à encourager la créativité : elle permet également d'établir une relation de confiance avec les consommateurs à travers tout le pays.

Quels sont les avantages clés du prototypage itératif pour les entreprises en Suisse ?

Le prototypage itératif : une approche agile pour les entreprises suisses

Le prototypage itératif offre une manière dynamique et efficace de développer des produits en Suisse. Cette méthode permet non seulement d'identifier rapidement les erreurs, mais aussi de les corriger tout au long du processus de développement. Résultat ? Une réduction notable des coûts et des délais, deux éléments cruciaux pour rester compétitif sur le marché.

En intégrant des retours réguliers des utilisateurs, cette approche garantit que les solutions répondent aux besoins réels des clients. Cela ne se limite pas à améliorer la qualité du produit final, mais renforce aussi la satisfaction des utilisateurs.

En parallèle, le prototypage itératif favorise un environnement propice à l'exploration d'idées nouvelles. Grâce à ce cadre flexible, les entreprises peuvent tester différentes approches, ajuster leurs processus et mieux répondre aux exigences d'un marché suisse à la fois diversifié et bilingue. Cette méthode permet ainsi de transformer les défis locaux en opportunités concrètes.

Comment évaluer l'impact du design thinking sur l'expérience utilisateur en entreprise ?

Évaluer l'impact du design thinking sur l'expérience utilisateur

Pour mesurer les effets du design thinking sur l'expérience utilisateur, il est essentiel de définir des indicateurs clés de performance (KPI) précis. Parmi ceux-ci, on peut inclure des métriques comme le taux de rétention client, le niveau de satisfaction des utilisateurs ou encore l'évolution du chiffre d'affaires. Ces indicateurs offrent une base solide pour évaluer les résultats de manière concrète.

Il est important d'utiliser une combinaison de méthodes quantitatives et qualitatives. Les données quantitatives, telles que les taux de conversion ou les retours financiers, fournissent des mesures objectives. En parallèle, les méthodes qualitatives, comme les retours directs des utilisateurs ou les tests d'usage, apportent une compréhension plus nuancée des expériences vécues. Ensemble, ces approches permettent d'obtenir une vision complète des améliorations réalisées.

Enfin, examinez des exemples concrets d'optimisations UX qui ont démontré leur efficacité. Cela permet d’identifier les solutions qui non seulement améliorent l'expérience utilisateur, mais génèrent aussi un impact commercial mesurable tout en renforçant l'engagement des clients.

 

 

 
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